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Comprendre le Syndrome de Korsakoff : Une maladie méconnue mais dévastatrice

Nettoyage après Syndrome de KorsakoffLe syndrome de Korsakoff, bien qu’il soit largement ignoré par le grand public, représente une pathologie neuropsychiatrique sévère qui bouleverse la vie de ceux qui en sont atteints. Causée principalement par une carence prolongée en vitamine B1 (thiamine), cette affection touche principalement les personnes en situation de dépendance alcoolique chronique. Pourtant, ses conséquences vont bien au-delà des seules problématiques d’addiction : désorientation, amnésie irréversible, détérioration cognitive et dépendance au quotidien en sont les marques les plus visibles.


Origine et causes du syndrome de Korsakoff

Une carence nutritionnelle à l’origine du trouble

Le syndrome de Korsakoff est une complication d’un autre trouble appelé encéphalopathie de Wernicke, une urgence médicale causée par un déficit aigu en thiamine (vitamine B1). Ce déficit survient souvent chez les personnes souffrant d’alcoolisme chronique, mais aussi chez celles présentant une malnutrition sévère, notamment après une chirurgie bariatrique, en cas d’anorexie mentale ou encore lors de vomissements prolongés comme dans l’hyperémèse gravidique.

La thiamine joue un rôle vital dans le métabolisme énergétique du cerveau. Sans elle, certaines régions cérébrales, notamment les corps mamillaires et l’hippocampe, peuvent subir des lésions irréversibles. C’est cette atteinte qui est à l’origine des troubles de la mémoire caractéristiques du syndrome de Korsakoff.

L’alcoolisme chronique : facteur de risque principal

D’après les données de l’INSERM et de l’INSEE, l’alcoolisme reste l’un des premiers motifs d’hospitalisation pour troubles mentaux en France. En 2023, l’INSEE estimait que plus de 5 millions de personnes présentaient une consommation d’alcool à risque en France, et environ 1,5 million étaient en situation d’addiction sévère. Parmi cette population, une partie non négligeable est susceptible de développer un syndrome de Korsakoff sans prise en charge nutritionnelle précoce.


Symptômes : quand la mémoire devient une prison

Le syndrome de Korsakoff est principalement caractérisé par un trouble massif de la mémoire.

Les signes typiques incluent :

  • Amnésie antérograde sévère : impossibilité de retenir de nouvelles informations. Le patient peut oublier ce qui vient de se passer quelques minutes auparavant.

  • Amnésie rétrograde : perte de souvenirs anciens, souvent étalée sur plusieurs années.

  • Confabulations : le patient invente des histoires pour combler ses lacunes mnésiques, sans volonté de mentir.

  • Désorientation temporo-spatiale : confusion sur l’endroit et le moment.

  • Apprentissage altéré : incapacité à acquérir de nouvelles connaissances, malgré des capacités intellectuelles globalement préservées au départ.

Ces symptômes entraînent une dépendance accrue à l’entourage, les malades ayant besoin d’un accompagnement constant pour leurs tâches quotidiennes.


Diagnostic : une reconnaissance encore tardive

Le diagnostic du syndrome de Korsakoff repose avant tout sur l’observation clinique et l’historique médical du patient. Des examens complémentaires peuvent être réalisés pour exclure d’autres causes :

  • IRM cérébrale : permet d’identifier les lésions cérébrales au niveau des corps mamillaires et du thalamus.

  • Tests neuropsychologiques : mesurent les capacités mnésiques, l’attention, l’orientation.

  • Dosage en thiamine : parfois réalisé, bien qu’il soit peu fiable en phase chronique.

Le principal problème reste la méconnaissance du syndrome par de nombreux professionnels de santé, qui le confondent parfois avec d’autres formes de démences, comme la maladie d’Alzheimer.


Évolution : une affection souvent irréversible

Sans traitement rapide lors de la phase aiguë (encéphalopathie de Wernicke), les séquelles laissées par le syndrome de Korsakoff sont généralement définitives. Selon les données de la revue médicale The Lancet Neurology, seulement 25 % des patients récupèrent une autonomie partielle, tandis que les autres conservent des troubles cognitifs majeurs et nécessitent un placement en institution.

L’espérance de vie est également réduite, surtout en cas de persistance de la consommation d’alcool. Le taux de mortalité est estimé entre 10 et 20 % à cinq ans après le diagnostic.


Prise en charge et accompagnement : un défi au quotidien

Une prise en charge pluridisciplinaire

Il n’existe à ce jour aucun traitement curatif du syndrome de Korsakoff. La prise en charge repose sur plusieurs axes :

  • Sevrage alcoolique complet et encadré.

  • Supplémentation en vitamine B1 à forte dose, souvent par voie intramusculaire ou intraveineuse.

  • Rééducation cognitive en hôpital de jour ou en centre spécialisé.

  • Soutien psychologique et social pour les proches et les aidants.

Des établissements spécialisés accueillent parfois ces patients dans des unités appelées « unités cognitivo-comportementales », souvent dédiées également aux pathologies de type Alzheimer. Le maintien à domicile est rare, en dehors des cas très légers ou bien encadrés.

Le rôle clé de l’entourage

Le syndrome de Korsakoff bouleverse l’équilibre familial. Les proches doivent gérer une personne parfois jeune mais dépendante, sujette à des troubles de l’humeur, à des colères ou des périodes de grande confusion. Les aidants familiaux doivent être formés, soutenus, et encadrés pour éviter l’épuisement.


Données épidémiologiques : un phénomène sous-estimé

Chiffres en France

Selon les estimations du ministère de la Santé, le syndrome de Korsakoff toucherait environ 30 000 personnes en France, un chiffre probablement sous-estimé en raison du sous-diagnostic.

Un rapport de l’HAS (Haute Autorité de Santé) de 2022 alertait déjà sur l’absence de stratégie nationale de dépistage et d’accompagnement, malgré des hospitalisations fréquentes dans les services de gériatrie, psychiatrie ou addictologie.

Comparaisons internationales

Aux Pays-Bas, un modèle de prise en charge spécifique a été développé depuis les années 2000, avec des structures appelées « Korsakoff Units », intégrées aux maisons de soins, permettant un accompagnement à vie. En France, ce modèle reste embryonnaire malgré les initiatives locales (CHU de Lille, CHU de Nantes).


Un enjeu de santé publique

Le syndrome de Korsakoff est révélateur d’une faille dans la prévention des conséquences de l’alcoolisme et de la précarité. En touchant principalement des personnes socialement fragiles, il pose aussi la question de l’accès aux soins, du suivi nutritionnel, et de la coordination entre les structures sociales et médicales.

Dans son rapport sur les conséquences sanitaires de l’alcool, l’INSERM (2021) recommandait d’instaurer une supplémentation systématique en vitamine B1 chez les patients alcoolodépendants hospitalisés, afin d’éviter la transition vers un syndrome de Korsakoff. Cette mesure, simple et peu coûteuse, reste encore peu appliquée.


Vivre avec le syndrome de Korsakoff

Témoignages indirects

Même si les personnes atteintes ne peuvent souvent pas raconter leur parcours, leurs proches, eux, décrivent un quotidien bouleversé. Certains patients continuent à vivre avec des confabulations permanentes, pensant encore être actifs, parents de jeunes enfants ou même à leur travail. D'autres, bien encadrés, retrouvent une forme de stabilité émotionnelle, mais restent incapables de planifier ou de gérer leur quotidien seuls.

L’importance de la reconnaissance sociale

La reconnaissance du syndrome comme handicap cognitif majeur est encore insuffisante. Pourtant, il remplit tous les critères d’un trouble neurocognitif sévère. Un meilleur accès à l’Allocation Adulte Handicapé (AAH), à la reconnaissance de la qualité de travailleur handicapé (RQTH) ou à des structures d’hébergement adaptées permettrait de soulager de nombreuses familles.

Quelques chiffres pour mieux comprendre

  • Environ 10 à 15 % des personnes souffrant d’alcoolisme chronique développent un syndrome de Korsakoff

  • 80 % des logements touchés présentent des signes d’insalubrité sévère

  • Jusqu’à 5 jours d’intervention peuvent être nécessaires dans les cas les plus extrêmes

 

Tarifs indicatifs selon les cas :

Type de logementDegré de saletéDurée estiméeTarif moyen
Studio 25 m² Faible à modéré 1 jour 600 – 900 €
T2 / T3 50-70 m² Moyen 2 jours 1500 – 2500 €
Maison 100 m² Extrême + nuisibles 3 à 5 jours 3000 – 5000 €

Un devis personnalisé gratuit est toujours proposé après une visite technique sur place.

Des tarifs adaptés à la complexité de chaque situation

Le nettoyage après un syndrome de Korsakoff est une prestation sur mesure. Le coût dépend de nombreux facteurs :

  • L’état de saleté du logement

  • Le degré d’encombrement

  • La surface à traiter

  • La nécessité de décontamination ou de traitement contre les nuisibles

  • L’accessibilité du site (présence ou non d’un ascenseur, étage)

Les tarifs peuvent débuter autour de 500 euros pour une pièce très légèrement touchée, mais atteignent souvent 1500 à 3000 euros pour un appartement entièrement insalubre. Un devis personnalisé gratuit est toujours proposé après une visite technique.

Qui appeler pour une personne atteinte de Korsakoff isolée ?

Face à ce type de situation, plusieurs interlocuteurs peuvent intervenir :

  • Le médecin traitant ou un hôpital pour signaler la situation

  • Le Centre Communal d’Action Sociale (CCAS) de la commune

  • Le juge des tutelles si une mesure de protection juridique est nécessaire

  • Les services sociaux départementaux (conseil départemental)

  • Des associations de soutien aux personnes dépendantes ou en situation d’isolement

Et bien sûr, Nova Clean Diogène pour réhabiliter le logement dans le cadre d’un retour à domicile, d’une hospitalisation ou d’une intervention sanitaire d’urgence.


Causes et mécanismes du syndrome de Korsakoff

Une carence en thiamine aux conséquences neurologiques graves

Le cerveau humain dépend de la thiamine pour fonctionner correctement. Cette vitamine permet la production d’énergie essentielle au fonctionnement neuronal. Lorsqu’elle vient à manquer – en particulier chez les personnes ayant des apports alimentaires insuffisants ou un métabolisme perturbé par l’alcool – certaines zones cérébrales sont endommagées : les corps mamillaires, le thalamus, l’hippocampe. C’est cette altération qui engendre les troubles mnésiques propres au syndrome de Korsakoff.

Des populations particulièrement vulnérables

Selon l’INSERM, les principaux groupes à risque incluent :

  • les personnes souffrant d’alcoolisme sévère,

  • les personnes sans domicile fixe,

  • les patients en post-chirurgie digestive (type bypass),

  • les personnes âgées sous-alimentées ou souffrant de cancers digestifs.

L’INSEE estimait en 2023 qu’environ 1,5 million de Français présentaient une addiction alcoolique sévère. Parmi eux, plusieurs dizaines de milliers seraient concernés par des formes de démence liées à l’alcool, dont le syndrome de Korsakoff.


Symptômes et quotidien des personnes touchées

Le tableau clinique est dominé par :

  • une amnésie antérograde : incapacité à fixer de nouveaux souvenirs,

  • une amnésie rétrograde : perte de souvenirs anciens,

  • des confabulations : le patient « remplit les blancs » de sa mémoire avec des souvenirs fabriqués,

  • une désorientation spatiale et temporelle,

  • des troubles du comportement, parfois associés à de l’apathie ou de l’agitation.

La vie quotidienne devient alors un défi constant, pour la personne malade comme pour son entourage.


Nettoyage et environnement : un enjeu souvent oublié

Quand la maladie rend le logement insalubre

Une dimension cruciale mais méconnue du syndrome de Korsakoff concerne l’état des logements. Le patient, du fait de sa désorientation, de sa négligence de l’hygiène personnelle et domestique, ou de ses troubles cognitifs, peut transformer son domicile en un lieu de désordre extrême, voire d’insalubrité. Plusieurs facteurs contribuent à cela :

  • oubli des tâches ménagères (vaisselle, linge, ordures),

  • accumulation compulsive (syndrome de Diogène associé dans certains cas),

  • problèmes d’incontinence ou d’hygiène corporelle non gérés,

  • présence d’animaux parfois mal entretenus,

  • déchets alimentaires ou déchets d’emballages abandonnés dans toutes les pièces.

Avec le temps, le logement devient un lieu dangereux, propice aux infections, aux infestations (rats, blattes, punaises de lit), et parfois au rejet social du voisinage. Il n’est pas rare que des patients soient signalés aux services sociaux par des voisins en raison d’odeurs nauséabondes ou d’une accumulation visible d’objets.

Le rôle du nettoyage spécialisé

Face à ces situations, un nettoyage standard est souvent insuffisant. Le recours à une intervention spécialisée devient indispensable pour plusieurs raisons :

  • Rétablir un cadre de vie sain compatible avec une prise en charge à domicile ou un maintien temporaire dans le logement.

  • Prévenir les risques sanitaires, notamment les infections, les allergies, les intoxications ou les contaminations croisées (moisissures, agents pathogènes).

  • Permettre une évaluation sociale par les services médico-sociaux, souvent impossible dans un environnement encombré ou pollué.

Les entreprises de nettoyage spécialisées dans les situations extrêmes, telles que celles intervenant pour des syndromes de Diogène, sont formées pour gérer ces interventions avec discrétion, empathie et efficacité. Elles disposent d’équipements de protection individuelle, de protocoles de désinfection, et savent collaborer avec les services sociaux ou psychiatriques impliqués dans le suivi du patient.

Nettoyage et dignité humaine

Au-delà de l’aspect technique, intervenir dans le logement d’une personne souffrant du syndrome de Korsakoff pose un enjeu de dignité. Il s’agit de restaurer un espace de vie propice au soin et au respect de la personne. Le nettoyage n’est donc pas seulement une action matérielle, mais bien une étape fondamentale du processus de réhabilitation sociale.


Diagnostic : repérer pour mieux accompagner

Le diagnostic repose sur une évaluation clinique associée à des tests neuropsychologiques et une imagerie cérébrale (IRM). Mais dans la réalité, de nombreux cas ne sont identifiés qu’à un stade avancé, lorsque les troubles deviennent trop invalidants pour être ignorés.

C’est pourquoi les professionnels du soin, de l’aide à domicile, du nettoyage social ou de la gestion locative doivent être sensibilisés à ces signes : troubles de mémoire, désorientation, abandon d’hygiène, logement dégradé.


Accompagnement multidisciplinaire : la seule voie possible

Traitement médical

Le traitement vise d’abord à stabiliser la carence en thiamine, grâce à des injections intraveineuses massives, suivies d’une supplémentation orale. Mais une fois les lésions installées, les possibilités de récupération sont limitées.

Soutien médico-social

Une fois la maladie identifiée, le patient doit être entouré par un réseau incluant :

  • un médecin traitant et éventuellement un neurologue,

  • un addictologue (dans les cas d’alcoolisme actif),

  • une équipe de travailleurs sociaux,

  • une équipe d’intervention pour le nettoyage et la réorganisation du logement,

  • un éventuel tuteur ou curateur.

Les dispositifs de soutien comme l’APA (aide personnalisée à l’autonomie), la MDPH (Maison Départementale des Personnes Handicapées), ou encore les résidences sociales sont des ressources essentielles.


Chiffres et reconnaissance

  • 30 000 cas estimés en France (INSERM, 2022), mais probablement plus.

  • Une surreprésentation chez les personnes vivant seules ou sans domicile.

  • Une espérance de vie réduite de 15 à 20 ans en l’absence de prise en charge adaptée.

  • Moins de 10 % de patients vivent en autonomie complète au long cours.

Malgré ces chiffres, le syndrome de Korsakoff n’est toujours pas reconnu comme affection longue durée (ALD) par la Sécurité sociale, ce qui complique l’accès à certains soins et dispositifs.


Cas concrets de situations traitées par Nova Clean Diogène

Cas 1 : Homme de 62 ans à Marseille, 45 m² insalubre, déchets organiques, mouches, odeurs nauséabondes. Équipe de 2 personnes, intervention en 2 jours, désinfection complète, logement prêt pour l’accueil de soins à domicile.

Cas 2 : Femme de 70 ans à Lille, appartement en HLM 65 m². Forte accumulation d’objets, forte odeur d’urine. 3 jours d’intervention, désencombrement, nettoyage des murs, plafonds, désodorisants professionnels et traitement contre les blattes.

Cas 3 : Homme sous tutelle à Bordeaux. Intervention en urgence après signalement des voisins. Intervention sous 24h, logement sécurisé, déchets évacués, espace de vie réhabilité et remis au gestionnaire.

Le syndrome de Korsakoff est une maladie grave, souvent irréversible, qui mérite d’être connue et reconnue. Il ne s’agit pas d’un simple trouble lié à l’alcoolisme, mais d’un véritable drame humain, social et sanitaire. La prévention passe par une meilleure prise en charge de l’addiction, un dépistage précoce de la carence en thiamine, et surtout par une information claire, grand public, pour éviter que des milliers de vies ne soient irrémédiablement marquées.


Agir vite, agir ensemble

Le syndrome de Korsakoff est une pathologie silencieuse mais destructrice, qui laisse des familles démunies et des personnes malades dans des situations d’indignité extrême. Le rôle de l’environnement et du logement est crucial : un habitat insalubre aggrave l’isolement, complique les soins, et empêche toute réinsertion.

Dans ce contexte, le nettoyage spécialisé devient un maillon de la chaîne de soins, au même titre que le médecin, l’assistante sociale ou l’infirmière. Restaurer un logement, c’est souvent redonner une chance de se reconstruire, ou du moins d’être accompagné dans des conditions décentes.

La reconnaissance du syndrome de Korsakoff comme une réalité sociale, médicale et environnementale doit progresser. Elle suppose une mobilisation coordonnée : services sociaux, professionnels de santé, entreprises spécialisées et familles doivent travailler main dans la main pour redonner une dignité aux personnes touchées.


Sources

  • Institut National de la Santé et de la Recherche Médicale (INSERM) — Dossier Alcool & Santé 2021

  • INSEE — Données sur les consommations à risque en France (2023)

  • Revue The Lancet Neurology, Korsakoff’s syndrome: diagnosis and management (2022)

  • Haute Autorité de Santé — Rapport sur les troubles cognitifs secondaires à la carence en vitamine B1 (2022)

  • Fédération Addiction — Fiches pratiques professionnelles sur les troubles liés à l’alcool

  • Société Francophone d'Alcoologie — Journées scientifiques 2023

  • Dernière mise à jour le .

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